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BEN FACHEN "LEVI-FASSINA" David50 ans |
Acte de Décès N° 586 |
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Filiation Enfant légitime |
28 ans |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 26 |
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Acte de Décès N° 638 |
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Filiation Enfant légitime |
Acte de Décès N° 167 |
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Filiation Enfant légitime |
Filiation Enfant légitime |
26 ans |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 3 |
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42 ans |
Acte de Décès N° 2050 |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 469 |
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Acte de Naissance N° 720 |
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27 ans |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 286 |
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Filiation Enfant légitime |
29 ans |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 284 |
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Acte de Décès N° 413 |
Filiation Enfant légitime |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 165 |
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Filiation Filiation inconnue |
28 ans |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 603 |
Filiation Enfant légitime |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 56 |
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Filiation Enfant légitime |
Filiation Enfant légitime |
20 ans |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 51 |
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Acte de Décès N° 1821 |
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21 ans |
Filiation Enfant légitime |
Acte de Mariage N° 87 |
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Filiation Enfant légitime |
Acte de Naissance N° 2454 |
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Massacré le 17 août 1944 à Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne), victime civile. Isaac Ben Naïm était le fils d’Abraham Ben Naïm ou Ben Haïm, employé de commerce, et de Zahra Nathan, son épouse. À sa naissance, la famille habitait 17 rue de la Révolution à Oran (Algérie). Il fut incorporé au 1er régiment de zouaves à partir du 8 avril 1915 et servit en France contre l’Allemagne après son temps de formation. Il passa au 9e régiment de marche de zouaves le 5 septembre 1916, puis au 2e RZ le 16 avril 1919. Il fut rendu à la vie civile le 7 septembre 1919 et se retira à Oran 59 rue d’Austerlitz. À partir de 1933, il habita 33 rue Saint-Jérôme à Toulouse (Haute-Garonne) où il exerçait la profession de comptable. Il épousa Léonie, Jeanne Piquemal le 1er novembre 1936 à Toulouse. Il fut brièvement mobilisé entre le 7 mars et le 12 juillet 1940, affecté au 171e dépôt d’infanterie. Il fut interné à la prison Saint-Michel, à Toulouse (Haute-Garonne) sans doute en raison de ses origines. Il fut extrait de sa cellule le 17 août 1944 en fin d’après-midi avec d’autres détenus qui furent emmenés en camion à une vingtaine de kilomètres au nord, à Buzet-sur-Tarn (Haute-Garonne). Il fut exécuté au lieu-dit « L’Enfournet » avec 53 autres personnes et brûlé ensuite dans une grange. Les Allemands quittèrent Toulouse le 19 août 1944. Isaac Ben Naïm obtint la mention « Mort pour la France » (mention sur fiche matricule). Son nom ne semble figurer sur aucun monument. Le Mémorial de La Shoah à Paris et Yad Vashem à Jérusalem le recensent parmi les victimes de la Shoah sous le nom de Benhaïm. Jean-Louis Ponnavoy |
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Filiation Enfant légitime |
Acte de Naissance N° 1374 |
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Exécuté sommairement. Il était militant socialiste proche du Parti communiste, résistant du Front national, des FTP et de l’ORA. André Benaïm fit des études secondaires. Négociant, il fut l’associé du militant socialiste Zermati dans son commerce de tissus, à Nancy d’abord, puis à Dijon (Côte-d’Or) dans les années 1930. Intrigué par une publicité, il s’inscrivit pour un voyage touristique en URSS vers 1930. Choqué par le contraste entre les allégations de la presse française et ce qu’il observa au cours de son voyage, il accepta de faire des causeries patronnées par les « Amis de l’URSS », fit un second voyage... Il devint alors secrétaire départemental des « Amis de l’URSS », et se rapprocha de plus en plus du Parti communiste ; il est peu probable cependant qu’il s’y soit inscrit (témoignages contradictoires). Il employa sa fortune à aider matériellement les travailleurs dans l’embarras, éventuellement à renflouer Le Travailleur, hebdomadaire communiste local, et à subventionner les nombreuses organisations de gauche dont il était l’animateur (Amis de l’URSS, Comité franco-italien, Comité franco-espagnol, Secours populaire de France). Il soutint passionnément la cause des républicains espagnols, fit un voyage à Barcelone en janvier 1937, ouvrit à Dijon un centre du Secours populaire pour l’aide aux volontaires, à leurs familles et aux Espagnols réfugiés. Il fut également secrétaire départemental du mouvement « Paix et Liberté » (Amsterdam-Pleyel). Lors de la déclaration de guerre, il continua à défendre la politique du Parti communiste. Après avoir été démobilisé en 1940, il se mit à la disposition de Maxime Couhier, responsable du centre d’accueil des réfugiés situé dans les locaux du groupe scolaire de la Maladière, à Dijon. Il aida à l’évasion de prisonniers de guerre, à faire franchir aux réfugiés la ligne de démarcation, à imprimer et diffuser tracts et journaux clandestins etc. Arrêté en juin 1941 en raison de sa réputation de militant communiste, il fut interné vingt et un mois à Nexon (Haute-Vienne) puis mis en résidence surveillée à Mâcon où il organisa le Front national et les FTP. Il devint agent de liaison du commandant de Bellecombe, responsable départemental de l’ORA. Le 1er juin 1943, il fut nommé chef de section avec le grade de lieutenant. Arrêté à nouveau le 15 août 1943, place de la Barre, à Mâcon et interné à la prison de Montluc, il refusa une proposition de libération conditionnelle et, trois mois après, le 24 novembre 1943, il fut exécuté dans les caves de l’Ecole de Santé à Lyon, par les Allemands. Le rapport de la police judiciaire de Lyon indique qu’il aurait été exécuté avec sept autres camarades, d’une rafale de mitraillette par une sentinelle alors qu’ils tentaient de s’évader des locaux de la Gestapo. Il fut décoré à titre posthume de la Légion d’honneur et de la Croix de guerre avec étoile de vermeil. Il obtint également la Médaille de la Résistance avec rosette par décret du 24 avril 1946 (JO du 17/05/1946). Il a un dossier GR 16 P 46049 sans mention d’homologation à la Résistance (nc). Pierre Lévêque |
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Filiation Enfant légitime |
Marié avec une ACHKENAZI. |
40 ans |
54 ans |
31 ans |
Filiation Enfant légitime |
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